La racialisation du travail pénal en Guyane française (années 1850-années 1830)

المؤلفون

  • Samuel TRACOL Agrégé d’histoire, doctorant à Sorbonne Université Centre d’Histoire du XIXème Siècle (CRHXIX)

DOI:

https://doi.org/10.46325/ellic.v8i1.128

الكلمات المفتاحية:

Guyane française، bagnes، race، travail pénal، colonisation pénitentiaire

الملخص

Les bagnes de Guyane accueillent dès leur fondation en 1852 des condamnés en provenance de tout l’Empire. Le développement des théories raciales est concomitant de l’émergence de la science criminologique. Au carrefour de ces deux champs, le bagne assigne aux condamnés coloniaux des tâches en fonction de leurs aptitudes supposées au travail en milieu équatorial. Alors que l’échec économique de la colonisation pénitentiaire est patent dès les années 1850, l’administration pénitentiaire place ses espoirs dans les Arabes, les Indochinois ou les Malgaches pour accomplir les visées prométhéennes du colonisateur français en Guyane.

منشور

2024-07-10

كيفية الاقتباس

TRACOL, S. (2024). La racialisation du travail pénal en Guyane française (années 1850-années 1830). Revue Plurilingue : Études Des Langues, Littératures Et Cultures, 8(1), 31–36. https://doi.org/10.46325/ellic.v8i1.128

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