La racialisation du travail pénal en Guyane française (années 1850-années 1830)
DOI:
https://doi.org/10.46325/ellic.v8i1.128الكلمات المفتاحية:
Guyane française، bagnes، race، travail pénal، colonisation pénitentiaireالملخص
Les bagnes de Guyane accueillent dès leur fondation en 1852 des condamnés en provenance de tout l’Empire. Le développement des théories raciales est concomitant de l’émergence de la science criminologique. Au carrefour de ces deux champs, le bagne assigne aux condamnés coloniaux des tâches en fonction de leurs aptitudes supposées au travail en milieu équatorial. Alors que l’échec économique de la colonisation pénitentiaire est patent dès les années 1850, l’administration pénitentiaire place ses espoirs dans les Arabes, les Indochinois ou les Malgaches pour accomplir les visées prométhéennes du colonisateur français en Guyane.
التنزيلات
منشور
كيفية الاقتباس
إصدار
القسم
الرخصة
الحقوق الفكرية (c) 2024 Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures

هذا العمل مرخص بموجب Creative Commons Attribution-ShareAlike 4.0 International License.