Les femmes combattantes, ou les Mater Dolorosa dans La femme sans sépulture et L’Amour la Fantasia d’Assia Djebar
DOI:
https://doi.org/10.46325/ellic.v8i1.138Keywords:
prison space, torture, trauma, silence, History, espace carcéral, supplice, traumatisme, silence, HistoireAbstract
In this article, we will attempt to shed light on the genocide of the Algerian war, the tortures inflicted on the people and the bravery of the women who accompanied the men in their fight against the French invaders. We'll look at some of the prisons and jails that were the scene of mass slaughter, causing desolation and trauma. In this novelistic fresco, Assia Djebar reveals what is hidden by official history, bringing to the fore the crimes perpetrated by yesterday's executioners.
Résumé
Dans cet article nous tenterons de mettre en lumière le génocide de la guerre d’Algérie, les supplices infligés au peuple et les bravoures des femmes qui ont accompagné les hommes dans leur lutte contre l’envahisseur français. Nous évoquerons quelques exemples de prisons ou d’espaces carcérales qui ont été le théâtre de massacre collectif, causant ainsi la désolation et le traumatisme. Dans cette fresque romanesque Assia Djebar nous révèle ce qui est tu par l’Histoire officielle, elle met au-devant de la scène, les crimes perpétrés par les bourreaux d’hier.
Downloads
Published
How to Cite
Issue
Section
License
Copyright (c) 2024 Revue plurilingue : Études des Langues, Littératures et Cultures
This work is licensed under a Creative Commons Attribution-ShareAlike 4.0 International License.